samedi 1 septembre 2012

Corsica Epistolarium: c'est celui qui dit, qui est...


Note du 23/07/07.

1- Je ne l'avais pas remarquée jusqu'à ce qu'elle fasse claquer l'élastique de son maillot. Après, je n'ai vu qu'elle, avec son allure de princesse déchue et sa peau d'orange sur les fesses.

2- Il cria "papa" une bonne dizaine de fois. Son père sur la plage, se tourna vers sa femme pour lui dire.
  - Il est con ton fils, y voit bien que je ne l'entends pas.

3 commentaires:

Anonymous Mrs L. a dit...

Oh, la vache !! Tu l'as pas loupée !!! :D Avec de jolis bras et de jolies oreilles en prime !!! (je parle même pas de la peau d'orange !!)LOL !! ^^ Et pourtant tu restes très élégant !!! ;) Bravo ! et merci de nous avoir mis en forme pour le WE !

1 septembre 2012 à 11:13  
Blogger Association des amis du musée Mélik a dit...

J'aime bien la dimension romanesque induite par l'emploi des passés simples.
Tu n'es pas qu'un bon dessinateur, tu es un excellent raconteur.

1 septembre 2012 à 21:18  
Anonymous Olivier. a dit...

En effet Lydia, j'essaie toujours d'être délicat dans mes messages, ou poétique. Si cela fonctionne, j'en suis ravi.

Merci JM, comme dirait Djamel: ça fi plizir...

2 septembre 2012 à 10:18  

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